Que ce premier numéro de l’année vous trouve toutes et tous en bonne santé !
Après une partie de l’année marquée par la pandémie, ce n’est pas un simple vœu, et nous savons que certaines et certains ont dû se battre contre l’infection.
Rien n’est fini et la gestion chaotique des autorités politiques et sanitaires ne fait qu’aggraver la situation.
Nous l’avons souvent dit et écrit « vous ne confinerez pas nos colères et nos luttes ». Et tout au long de l’année 2020, nous nous sommes efforcés de rendre compte des résistances qui n’ont jamais cessé et qui se sont amplifiées, chez nous et ailleurs dans le monde. Car si le virus n’est ni chinois, sud-africain ou anglais…, s’il franchit les frontières et fait des dégâts partout, c’est parce qu’il trouve un terrain favorable dans la pauvreté, la misère, le mal-logement, le délabrement des systèmes de santé, conséquences du système capitaliste impérialiste qui place les profits des monopoles au-dessus de la vie des travailleurs, des jeunes, des habitants des quartiers populaires, des peuples.
Nous formulons des vœux, mais il s’agit davantage d’engagements, d’appels à poursuivre les combats pour défendre nos intérêts de travailleurs, actifs, chômeurs, précaires, avec ou sans papiers, avec ou sans statut, mais toujours exploités, de femmes travailleuses, les « premières de corvée », qui doivent se battre pour que l’utilité sociale de leur travail soit justement reconnue, jeunes et moins jeunes… pour défendre nos acquis sociaux, chèrement gagnés et dangereusement remis en cause aujourd’hui.
Les appels à se mobiliser sont déjà nombreux, en ce début 2021.
Avec vous, nos lecteurs, nos camarades et amis, nous nous souhaitons plus de lecteurs, plus de correspondances, plus de « visites » sur notre site et sur facebook.